Le roman est écrit sous la forme d’un journal intime, dans lequel le condamné raconte ses pensées, ses peurs, ses espoirs et ses désespoirs au cours des derniers jours de sa vie. Il exprime son dégoût pour la peine de mort et sa frustration face à l’injustice de son sort.
Le condamné évoque également les moments heureux de sa vie passée, notamment son amour pour une jeune femme, ainsi que sa relation avec sa fille. Il décrit également les conditions de vie épouvantables des prisonniers et la brutalité des gardiens de prison.
Au fil des jours, le condamné devient de plus en plus résigné à sa mort imminente, mais il garde toujours une lueur d’espoir jusqu’à la fin. Finalement, le jour de son exécution arrive, et le roman se termine sans que l’on sache si le condamné a été exécuté ou non.
Le roman est un plaidoyer contre la peine de mort et une critique de la société française de l’époque, qui était marquée par des inégalités sociales et une justice injuste.